Cette Route s’adresse aux jeunes filles et garçons entre 18 et 28 ans.
La Route se déroule du 3 au 15 août. Cette année, la Route se fera en France : De Conques au Puy-en-Velay, à la découverte des grands sanctuaires et des magnifiques paysages de notre pays !
Le rendez-vous est donné le 03 août à Rodez. La fin est le 15 août au Puy-en-Velay.
Chaque journée de marche compte 15 à 25 km : sans demander un effort physique exceptionnel, cela demande tout de même d’être en bonne condition physique et équipé pour marcher.
Le prix de la Route est de 280 €. Pour l’inscription de frères et sœurs d’une même famille, vous bénéficiez d’une réduction à 250 € par personne.
La Route, pour quoi faire ?
Le goût de l’effort, de la joie et de l’amitié
- Apprendre à se donner :
« Qui mesure, écrit Georges Bernanos, ne donne rien ». Car c’est dans l’effort que nous apprenons à sortir de nous-même, à discerner l’essentiel de notre vie, et ainsi à véritablement nous connaître.
- Retrouver le sens du réel :
Le chemin où l’on peine est aussi le chemin où l’on retrouve le sens du réel, le sens du vrai, le sens de Dieu. Les pas de Dieu dans le désert de Judée ont pour toujours sanctifié notre route humaine. « Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie », nous rappelle Notre Seigneur. Cette route avec Dieu devient le lieu de la rencontre pour les pèlerins d’Emmaüs. C’est aussi le lieu où l’homme retrouve Dieu, où il apprend à cheminer avec lui. La route résume notre vie, où nous semons dans la peine pour moissonner dans la joie.
- Retrouver le sens de la joie chrétienne :
La joie chrétienne est une joie simple, connectée au réel. Une joie non construite d’artifices, mais dans le contact avec le réel, avec l’humilité, la pauvreté. C’est la joie d’un rien. Pas une joie que l’on s’offre, mais qui nous est offerte. Dans l’effort naît la joie, la vraie, celle qui ne faiblit pas. Cette joie est solide, parce que fondée sur Dieu. « Un saint triste est un triste saint« , comme l’écrivait saint François de Sales. Le sourire est la marque du saint. En lui s’exprime la fraîcheur de la jeunesse, l’idéal radieux du croisé, la joie surnaturelle de tous les martyrs. En somme, l’éternelle jeunesse de l’Église.